Parfums, l’empire d’un sens 

 

(Plume, 2002)

Premier né d’une génération d’ouvrages retrouvant le goût de l’objet-livre, cet album se présente comme une boîte à malices : mise en page innovante présentant des pages pliantes, du papier pelure, des découpes, des fenêtres qui s’ouvrent sur d’autres pages. Les sensations tactiles au contact des différents papiers nous font découvrir un livre pas comme les autres. Allant du plus général au plus intime, cette « carte du tendre » de notre mémoire olfactive est constituée de 6 parties : – la nature : champs en pleine moisson, sous-bois après la pluie… – le voyage : marchés aux épices, forêts de baobab – Répertoire des fleurs et des fruits ; – la maison : gâteau au chocolat dans le four, armoire à linge d’une grand-mère… – le corps : la peau d’un nouveau-né, les huiles du bain… – le flacon de parfum…

Odeurs et senteurs, donc, à toutes les pages, mêlées à l’univers littéraire de Proust et de Baudelaire, de Colette et de tant d’autres.

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Bruges, invitation au voyage 

 

(Flammarion, 2001))

À côté de ses fabuleuses richesses artistiques, Bruges est surtout une ville romantique où il fait merveilleusement bon flâner. Ses canaux l’ont fait nommer “Venise du Nord”. On sillonne leur beauté intacte pour accéder à des cours privées, des jardins suspendus, un petit pont qui reflète son arche dans les eaux sombres. Puis, au gré des ruelles pavées, on part à la découverte des quartiers, des façades à pignons aux alignements tout en simplicité des maisons-Dieu, des jolies placettes au romantique Béguinage.

Les intérieurs de Bruges se révèlent dans ses hôtels et ses chambres d’hôtes, l’art de vivre d’autrefois et l’artisanat dans l’intimité de ses musées. La promenade est ponctuée de pauses gourmandes, pour savourer spécialités de la mer et cuisine à la bière, ou simplement retrouver l’atmosphère des estaminets d’antan. Enfin, on part vers la mer le long d’un canal serein, à la découverte de la lumineuse campagne de Bruges, de ses fermes et de ses maisons de pêcheurs, de Damme, Lissewege et Blankenberge. Pour prolonger le plaisir, toutes les adresses sont répertoriées dans le carnet pratique situé à la fin de l’ouvrage.

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Bruges, invitation au voyage 

 

(Flammarion, 2001))

À côté de ses fabuleuses richesses artistiques, Bruges est surtout une ville romantique où il fait merveilleusement bon flâner. Ses canaux l’ont fait nommer “Venise du Nord”. On sillonne leur beauté intacte pour accéder à des cours privées, des jardins suspendus, un petit pont qui reflète son arche dans les eaux sombres. Puis, au gré des ruelles pavées, on part à la découverte des quartiers, des façades à pignons aux alignements tout en simplicité des maisons-Dieu, des jolies placettes au romantique Béguinage.

Les intérieurs de Bruges se révèlent dans ses hôtels et ses chambres d’hôtes, l’art de vivre d’autrefois et l’artisanat dans l’intimité de ses musées. La promenade est ponctuée de pauses gourmandes, pour savourer spécialités de la mer et cuisine à la bière, ou simplement retrouver l’atmosphère des estaminets d’antan. Enfin, on part vers la mer le long d’un canal serein, à la découverte de la lumineuse campagne de Bruges, de ses fermes et de ses maisons de pêcheurs, de Damme, Lissewege et Blankenberge. Pour prolonger le plaisir, toutes les adresses sont répertoriées dans le carnet pratique situé à la fin de l’ouvrage.

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Le Bal des ifs, roman historique 

 

(Flammarion, 2000)

« J’ai trop de tourments à oublier… et tant de vilenies. Je réserve ces matières aux Mémoires qui, depuis quelque temps, meublent mes heures de loisir et que je livre ici. J’y conte par le menu les soubresauts d’une fortune singulière, avec tout ce qu’elle m’a permis de voir et de savoir, et qui est plus singulier encore. Il me paraît que c’est l’occupation rangée d’une femme qui ne se soucie plus de plaire, ou presque plus… Moi, Jeanne de Pompadour, après avoir tant aimé mon maître Louis XV, lutté pour l’approcher, l’envoûter, le garder, bataillé pour m’imposer à Versailles, me méfier des faux amis et des vrais traîtres, agir et non seulement séduire, j’entre désormais dans un âge où l’on se retourne à plaisir sur ce qu’on a pu réussir ou manquer.

Après dix-neuf ans passés auprès du Roi, je couche ces souvenirs avec toute la sincérité possible, ce qui m’amène à dire bien des choses, sur bien des gens. Accablée par la bêtise des dévots, mes ennemis jurés, déçue par la cupidité de quelques-uns de mes vieux amis de la finance, je ne me suis trouvé d’alliés véritables que dans les philosophes – et dans ma propre passion. Aujourd’hui, si je ne puis tout révéler sur les uns et les autres, du moins je ne veux pas mentir ; et je ne diminuerai jamais ni le mérite des braves ni l’incurie des sots.

Et pour tout dire, je serai payée de mes efforts si ces confessions peuvent aider de jeunes personnes à se diriger plus vite vers le bon et le vrai ! Marquise de Pompadour. »

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Le Bal des ifs, roman historique 

 

(Flammarion, 2000)

« J’ai trop de tourments à oublier… et tant de vilenies. Je réserve ces matières aux Mémoires qui, depuis quelque temps, meublent mes heures de loisir et que je livre ici. J’y conte par le menu les soubresauts d’une fortune singulière, avec tout ce qu’elle m’a permis de voir et de savoir, et qui est plus singulier encore. Il me paraît que c’est l’occupation rangée d’une femme qui ne se soucie plus de plaire, ou presque plus… Moi, Jeanne de Pompadour, après avoir tant aimé mon maître Louis XV, lutté pour l’approcher, l’envoûter, le garder, bataillé pour m’imposer à Versailles, me méfier des faux amis et des vrais traîtres, agir et non seulement séduire, j’entre désormais dans un âge où l’on se retourne à plaisir sur ce qu’on a pu réussir ou manquer.

Après dix-neuf ans passés auprès du Roi, je couche ces souvenirs avec toute la sincérité possible, ce qui m’amène à dire bien des choses, sur bien des gens. Accablée par la bêtise des dévots, mes ennemis jurés, déçue par la cupidité de quelques-uns de mes vieux amis de la finance, je ne me suis trouvé d’alliés véritables que dans les philosophes – et dans ma propre passion. Aujourd’hui, si je ne puis tout révéler sur les uns et les autres, du moins je ne veux pas mentir ; et je ne diminuerai jamais ni le mérite des braves ni l’incurie des sots.

Et pour tout dire, je serai payée de mes efforts si ces confessions peuvent aider de jeunes personnes à se diriger plus vite vers le bon et le vrai ! Marquise de Pompadour. »

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Jacques Garcia ou l’Eloge du Décor 

 

(Flammarion, 1999)

Après avoir créé les intérieurs de personnalités du monde entier, JACQUES GARCIA s’est attaqué à la décoration de certains des établissements les plus courus de Paris.
De l’hôtel Costes au salon de thé Ladurée des Champs-Élysées, de la brasserie La Grande Armée à L’Avenue, en passant par le nouveau Fouquet’s. Il est aussi le décorateur du musée de la Vie romantique, un des musées secrets les plus inspirés de la capitale.
Hors des frontières, sa réputation gagne New York, Moscou, Beyrouth, Bruxelles, Baden-Baden… Mais son chef-d’œuvre est le château normand du Champ-de-Bataille, où toutes les inspirations concourent à l’éclosion d’un nouveau style : le « style Garcia ».
Jacques Garcia nous invite ici à la découverte d’une œuvre originale et puissante, qui s’attache à revisiter les merveilles du passé pour mieux les conjuguer au présent.

Magicien des atmosphères, il sait envoûter le spectateur. Car, dit-il, « réjouir un regard ne me suffit pas : mon but est de faire chanter l’âme ».
Très richement illustré avec une centaine de nouvelles photographies réalisées spécialement pour cette nouvelle édition, Jacques Garcia ou l’Éloge du décor, déjà considéré comme un classique, nous fait partager les bonheurs d’un certain art de vivre à la française, dans l’impérissable tradition du « grand goût ».

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Jacques Garcia ou l’Eloge du Décor 

 

(Flammarion, 1999)

Après avoir créé les intérieurs de personnalités du monde entier, JACQUES GARCIA s’est attaqué à la décoration de certains des établissements les plus courus de Paris.
De l’hôtel Costes au salon de thé Ladurée des Champs-Élysées, de la brasserie La Grande Armée à L’Avenue, en passant par le nouveau Fouquet’s. Il est aussi le décorateur du musée de la Vie romantique, un des musées secrets les plus inspirés de la capitale.
Hors des frontières, sa réputation gagne New York, Moscou, Beyrouth, Bruxelles, Baden-Baden… Mais son chef-d’œuvre est le château normand du Champ-de-Bataille, où toutes les inspirations concourent à l’éclosion d’un nouveau style : le « style Garcia ».
Jacques Garcia nous invite ici à la découverte d’une œuvre originale et puissante, qui s’attache à revisiter les merveilles du passé pour mieux les conjuguer au présent.

Magicien des atmosphères, il sait envoûter le spectateur. Car, dit-il, « réjouir un regard ne me suffit pas : mon but est de faire chanter l’âme ».
Très richement illustré avec une centaine de nouvelles photographies réalisées spécialement pour cette nouvelle édition, Jacques Garcia ou l’Éloge du décor, déjà considéré comme un classique, nous fait partager les bonheurs d’un certain art de vivre à la française, dans l’impérissable tradition du « grand goût ».

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