Le Louvre, palais du pouvoir

le lundi 25 mars 2013, à 20h45 sur France 3 : « L’Ombre d’un Doute » Le Louvre, palais du pouvoir

Le Louvre, palais du pouvoir

Depuis plus de 800 ans, le Louvre, le plus grand des palais d’Europe, est le témoin actif de l’Histoire de France. En 12 journées incontournables, l’Ombre d’un doute dévoile l’épopée prodigieuse de cet illustre musée qui fut forteresse imprenable, palais des Rois de France et même siège du pouvoir impérial. Une histoire inattendue qui nous révèle les secrets étonnants de ses murs, bâtis, transformés, pillés et détruits au grès des grands évènements et des exigences de chaque époque.

Dès la Renaissance, en 1527, François Ier s’y installa définitivement avec sa cour. La redoutable forteresse médiévale prit des allures de palais résidentiel et le Louvre devint le lieu du pouvoir. Désormais, c’est ici que les grandes décisions devaient se prendre, parfois dans le plus grand secret comme pour le terrible massacre de la Saint Barthélémy le 24 août 1572 ou l’assassinat de Concino Concini le 24 avril 1617. Qui a pris ces décisions tragiques ? Autant de mystères enfouis dans les enceintes du palais. Un palais qui témoigne encore des fastes du règne de Louis XIV, organisateur de la plus somptueuse des fêtes, le grand Carrousel de 1662.


Dans le prolongement du Palais du Louvre, le palais des Tuileries fut le témoin majeur des grands bouleversements de la révolution, de l’incroyable scénario de la fuite de Varennes à la chute épique de Robespierre en passant par la fin de la monarchie.

C’est entre le Louvre et les Tuileries que la veille de son sacre, Napoléon Bonaparte dut épouser religieusement Joséphine sous la contrainte du pape ! Et un demi-siècle plus tard, c’est au cours d’un de ses célèbres bals que Napoléon III rencontra sa future maîtresse, la sulfureuse Comtesse de Castiglione, une espionne italienne.

Aujourd’hui, le palais des Tuileries n’existe plus, détruit par l’incendie de la Commune de Paris avant d’être rasé par une IIIè République qui ne supportait plus ce symbole honni de l’Empire. Quant au Louvre, devenu le musée le plus fréquenté au monde, il fut le théâtre de l’épisode rocambolesque du vol de la Joconde en 1911, avant que l’action héroïque de Jacques Jaujard, directeur des musées nationaux sous l’occupation, ne préserve ses formidables trésors des pillages nazis.

« L’Ombre d’un doute » : la lumière est au bout de l’enquête… Rendez-vous le lundi 25 mars 2013 à 22h55.

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3 Commmentaires

  1. Mcontin dit :

    Cher Frank Ferrand,
    Quand reviendrez-vous dans votre émission « L’ombre d’un doute » ? Vous nous manquez, Nous ne vous avons pas revu depuis l’émission sur le Louvre avec Stéphane Bern, vous étiez très bien tous les deux.
    Nous vous aimons tous les deux et l’un complète l’autre, alors de grâce, ns espérons que vos émissions ne seront pas supprimées… Mais aimerions que la votre passe plus tôt. Très intéressante aussi pour les adolescents, cela complète leur formation historique au lycée.
    A bientôt j’espère.
    Michelle

    • Denis dit :

      La prochaine aura lieu le 27 mai à 20h45, avec comme sujet : Venise,la cité des sortilèges »
      Eh bien moi ausssi je suis impatient aussi de voir chaque émission.Et je ne me lasse pas de ces intrigues historiques.Mais je me régale en attendant des émissions « au coeur de l’histoire » sur Europe 1

  2. Guillaume M dit :

    Est-ce que le fait que le Louvre soit transformé en musée fait de ce palais un centre du pouvoir?!
    Est-ce que le Louvre sont les Tuileries?! Votre émission trompe tout le monde.
    En quoi le vol de la Joconde de Leonardo da Vinci fait du Louvre un palais de pouvoir?

    « Depuis plus de 800 ans, le Louvre, le plus grand des palais d’Europe, est le témoin actif de l’Histoire de France » J’espère que vous rigolez? Le Louvre n’est pas à l’heure actuel le plus grand palais d’Europe.

    Encore une fois, l’histoire sur France TV c’est soit pas de l’histoire mais des documentaires sur l’art ou bien de l’histoire pro-monarchique concernant les rois et leur entourage. Et dire que nous, citoyens, payons pour ces niaiseries, ces erreurs… Je n’en reviens pas. Arrêtons le massacre.

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